Pour le WeLL, les selfies sont déjà démodés. Dans le domaine de la santé, on s’interroge aujourd’hui de savoir :

  • comment recycler un photomaton en boîte à nouvelles idées – Idéematon
  • si l’imagerie médicale se soucie des besoins des patients – Image et Moi

Quelles sont les premières pistes qui ressortent des échanges avec les participants aux ateliers ?

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Idéematon

Le partage d’information, d’idées ou de besoins par les usagers présuppose que la confiance est établie avec les institutions de la santé ou les personnes qui les représentent. A un autre niveau, le choix de l’interface qui permet le relais du message nécessite de comprendre les obstacles à la communication, de même que les moments et endroits les plus propices. L’internet mobile, smartphones, smartwatch, tablettes,… via le développement d’applications peut constituer une solution à condition de veiller à leur ergonomie.

Si on propose d’utiliser des bornes, des avatars, des hologrammes ou des plates-formes pour communiquer avec les usagers, cela peut se faire en complément de la mutuelle disponible via un numéro vert. Ces personnes peuvent écouter et traduire les ressentis des personnes qui apportent des idées, des expériences ou des questions. Suivant la philosophie du WeLL les contributeurs peuvent communiquer des besoins mais aussi proposer des solutions nouvelles pour y répondre. L’important sera de pouvoir s’exprimer en 3 clics.

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Image et Moi

Pour les patients, reprendre le contrôle sur leurs données médicales pourrait les aider dans certains cas à demander un contre-avis ou leur éviter d’être exposé deux fois à des rayons pour le même examen. L’agrégation de toutes ces données dans un même fichier permettrait aussi de rassembler les patients qui souffrent d’une même pathologie, de créer un réseau. De son côté, le ministère de la santé aurait un aperçu actualisé sur ces statistiques. Mais n’est-ce pas de nature à favoriser les contrôles ? Le partage de données pourrait être encadré pour éviter que les contrôles se fassent au détriment des patients.

Un outil sécurisé tel qu’Orthanc propose une interface informatisée permettant de partager facilement les fichiers des patients. Avec ce type de solution, les radiologues ou les médecins peuvent consulter les images, même lorsqu’ils ne se trouvent pas sur leur lieu de travail et échanger avec d’autres spécialistes avant d’informer utilement leurs patients.

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